Fotos: Marc Ginot & Rifail Ajdarpasic
PRESSE | REVIEWS
“(...) Le décor de Rifail Ajdarpasic, avec ses deux maisonnettes bleues et roses aux étages s'envolant dans les cintres, son mobile home et son bassin éclaboussant, est tout de fraîcheur et d'astuces. (...)“ Webthea
“(...) les décors décalés et colorés nous avaient emballé. (...) C'est dans une banlieue plutôt cossue, avec gazon tout vert, et grandes maisons colorées que l'intrigue prend vie. Les amateurs des Desperate Housewives auront été ravis de retrouver le charme de Wisteria Lane (...). Les décors vraiment réussis de Rifail Ajdarpasic enchantent par leur fraîcheur et leurs couleurs vives. (...)“ Bachtrack
“(...) De cette poduction se dégage un nouvel esprit, très démocratique pour le XIXe qui déteint sur aujourd'hui (...) En premier lieu, on constate un esprit plus ouvert aussi qui s'adapte à un public curieux et espiègle, ravi de découvrir, à l'entreacte, l'envers des décors. L'envers du décor, la désillusion qui transparait derrière la loufoquerie, n'est-ce pas le thème majeur de cette oeuvre? (...)“ MTP-Info
“(...) Le décor únique conçu par Rifail Ajdarpasic représente dans un lotissement deux maisons à étage entourées de jardins qui communiquent par une porte base percée dans la haie mitoyenne et s'ouvrent à l'arrière sur des dégagements permettant entrées et sorties du choeur. Les toits des deux maisons sont susceptibles de s'élever dans les cintres et de dévoiler pour l'un la chambre oú Sifroy se remet de son rhume - dans l'original une indigestion de pâté qui en a ruiné les effets prétendument aphrodisiaques - pour l'autre la fête endiablée "chez Brigitte" oú l'on découvre que Sifroy s'amuse comme une folle à Saint-Tropez quand on le croit en Palestine. (...) Ce dispositif et ce mouvement font grand effet. Les costumes aussi, signés Christophe Ouvrard, sont soignés, variés, et pleins de fantasie. Les lumières de Fabrice Kebour accompagnent sans hiatus les différents moments de l'intrigue. (...)“ Forumopera
“Loin d'une légende dorée asassinée par Offenbach, Geneviève de Brabant a, depuis mercredi, pour icônes des super-héros et figures mythiques vintage ou culte. Un imaginaire contemporain crée par Carlos Wagner, dans un grand écart culturel. Les blagues fusent, le public s'en réjouit! (...)“ Midi Libre
“(...) installer les personnages dans un lotissement pavillionnaire de nouveaux-riches, où chacun épie son voisin, façon Desperate Housewives, est plutôt efficace et bienvenu: le décalage social entre le noble Duc Sifroy et sa minable existence de banlieusard désoeuvré et pantouflard n'en est que renforcé! (...)“ La Lettre du Musicien
“(...) La possibilité de visiter les décors durant l'entreacte est, quant à elle, une belle initiative pour les plus curieux. En effet, la mise en scène de Carlos Wagner est originale: nous nous retrouvons en pavillon apparemment américain coloré où Geneviève et ses amies ont airs de pin-up. En soit, pourquoi pas? (...)“ TLC-Toute La Culture